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| La princesse vampire | |
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ElricWarrior Hérésiarque - Administrateur
Nombre de messages : 3315 Age : 84 Localisation : Terre d'Hérésie Actes nécrophiles : 9 Hommes torturés : 6364 Date d'inscription : 14/08/2004
Feuille de Sadique Aime mutiler: (35/150) Possede des Crânes humains: (10/150) Misanthrope : (15/150)
| Sujet: La princesse vampire Lun 29 Oct - 17:46 | |
| C'etait hier sur Arté, qui l'a vu ?
La princesse vampire
Pour la première fois, des chercheurs apportent la preuve que les histoires de vampires répandues en Europe dans la première moitié du XVIIIe siècle avaient des fondements réels. Enquête sur une possible ancêtre de Dracula.
Dans la petite ville médiévale de Krumau, en Bohême, une équipe constituée d'archéologues, d'historiens et de médecins légistes a mis au jour trois cadavres enterrés selon un axe sud-ouest, et non est-ouest, comme il est d'usage dans l'aire d'influence chrétienne. Les membres des trois squelettes sont alourdis par des pierres, la tête de l'un d'eux est séparée du tronc et repose entre les jambes, une pierre dans la bouche, les mains sont liées par un rosaire. Cette disposition correspond à certaines règles mentionnées dans Magia posthuma, un traité sur les vampires publié peu après 1700. Pour les scientifiques, c'est le départ d'une passionnante enquête historico-policière, qui les mène jusqu'aux archives du château. Rainer Köppl, spécialiste de l'histoire des médias et des vampires, y découvre l'existence d'une mystérieuse figure féminine, Eleonore von Schwarzenberg. Aurait-elle un rapport avec le personnage de vampire féminin que Bram Stoker avait placé dans le premier chapitre de son Dracula, avant de supprimer ces premières pages au moment de la parution du livre à Londres en 1897 ? Les archives de Krumau, en tout cas, font état de faits bien inquiétants, de maladies mystérieuses, de curieuses expériences médicales et d'une mort singulière dans les plus hautes sphères de la noblesse de Bohême. | |
| | | vesperal Virus Ebola
Nombre de messages : 1192 Actes nécrophiles : 0 Hommes torturés : 748 Date d'inscription : 22/09/2005
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| Sujet: Re: La princesse vampire Lun 29 Oct - 18:16 | |
| JE me suis enregistré le film de fisher mais n'avais pas vu ce reportage. tu l'as vu toi? rediffusions : 13.11.2007 à 02:00 16.11.2007 à 03:00 | |
| | | ElricWarrior Hérésiarque - Administrateur
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| Sujet: Re: La princesse vampire Lun 29 Oct - 18:52 | |
| Malheureusement non, parait que c'etait pas mal, on y voyait des confirmations des écrits de Dom Calmet. | |
| | | Darkside Virus Ebola
Nombre de messages : 1419 Age : 66 Localisation : Marseille Actes nécrophiles : 6 Hommes torturés : 888 Date d'inscription : 19/05/2006
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| Sujet: Re: La princesse vampire Lun 29 Oct - 21:29 | |
| Je l'ai vu. En effet, c'était interessant. Mais ça ne satisfera pas les amateurs de sensationel, ce reportage montre d'aprés des fouilles que des rituels étaient bien pratiqués sur des cadavres soupçonnés de vampirismes (décapitations, pierres posées sur le corps pour l'empécher de se relever de la tombe, etc...) mais démonte l'existence historique des vampires avec des explications scientifiques: le processus de la décomposition expliquerait certains phénomènes comme les corps retrouvés d'apparence "grasse", le sang qui s'en écoule et le bruit de manducation entendu dans les tombes (dû à la remontée des gazs post-mortem). Sinon le reportage porte beaucoup sur Eleonore von Schwarzenberg, princesse de Bohème morte apparement d'une tumeur digestive: la dégradation de sa santé l'aurait faite soupçonner d'être victime d'un vampire. (De plus elle aurait eu des comportement étranges dans sa vie: elle se serait nourrit de lait de louve pour avoir un enfant et effectivement aurait été mère à un age avancé, ce qui pouvait s'interpréter comme la resultat de la magie noire. Elle s'entourait aussi de parchemins magiques pour se protéger contre le danger) Immédiatement aprés sa mort son corps fut autopsié, ce qui était trés rare avec une aristocrate et les chirurgiens qui pratiquèrent l'autopsie furent payés un prix trés élevé pour ce genre d'opération. En fait, conclu l'émission, c'était une façon de pouvoir la priver de son coeur sans avoir à la transpercer d'un pieu comme on l'aurait fait avec quelqu'un de moins important socialement. Bram Stocker aurait connu cette histoire et il aurait prévu au début de "Dracula" une scène, finalement supprimée, avec une femme vampire nommée Eléonore, comme la princesse en question.
Dernière édition par le Mar 30 Oct - 9:19, édité 4 fois | |
| | | Milady de Sade Maître en Sorcellerie
Nombre de messages : 392 Age : 31 Localisation : Québec, mon pays! Actes nécrophiles : 0 Hommes torturés : 5 Date d'inscription : 29/05/2007
| Sujet: Re: La princesse vampire Mar 30 Oct - 3:15 | |
| Alors qu'elle hasard.. Chaque fois que j'ai une vampire pour une quetes j'lui donne le nom d'Eleonore... J'suis sure que je suis la réincarnation de cette princesse! ( Laisser moi rêver..) | |
| | | Darkside Virus Ebola
Nombre de messages : 1419 Age : 66 Localisation : Marseille Actes nécrophiles : 6 Hommes torturés : 888 Date d'inscription : 19/05/2006
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| Sujet: Re: La princesse vampire Mar 30 Oct - 9:39 | |
| Le reportage disait aussi que la tombe de la vampire, dans le texte de Stocker, portait l'inscription "les morts vont vite", ce qui évoque une autre Eléonore, ou plutôt Léonore, celle de la ballade de Gottfried August Bürger, où il est question aussi de morts-vivant: L’aurore venait d’illuminer de ses premiers rayons le jour naissant. Léonore, torturée par des rêves affreux, s’éveille en sursaut, et, pleine d’une tristesse amère, elle s’écrie : « Où es-tu. donc, mon bien-aimé ? Quelle est la cause de ce retard ? Es-tu mort ? Es-tu devenu parjure ? » Parti avec les guerriers du roi Frédéric, Wilhelm, son fiancé, avait combattu à Prague, et, depuis cette époque, elle n’avait eu aucune nouvelle de lui.
Le roi et l’impératrice, las de ces luttes longues et sanglantes, s’étaient réconciliés, et la paix fut enfin conclue. Chaque régiment, paré de rameaux verts, s’en allait, au son du tambour et de la musique, regagner son foyer natal.
Une foule innombrable encombre les routes et les sentiers, avide de saluer de ses cris de joie les guerriers revenant de leurs expéditions. « Dieu soit loué ! » s’écrient l’enfant et l’épouse ; « sois le bienvenu ! » s’écrie la fiancée. Mais, hélas ! pour Léonore, il n’y avait ni salut, ni baiser.
En vain elle parcourt les rangs dans tous les sens ; en vain elle interroge tous les hommes : aucun de tous ceux qui sont revenus ne peut la renseigner sur le sort de son fiancé. Le défilé des troupes est terminé. Léonore, en proie au plus cruel désespoir, s’arrache les cheveux et se jette à terre avec des gestes de démence et de fureur.
La pauvre mère tout alarmée, court à son secours, et, la serrant dans ses bras, lui dit : « Qu’as-tu donc mon enfant chérie ? » « – Ô ma mère ! ô ma mère ! pour moi tout est perdu ! Adieu, joies de ce monde ! Je ne veux plus vivre. Non, Dieu n’a point de pitié ! Malheureuse que je suis ! malheureuse entre toutes les créatures ! »
« Dieu de bonté, venez à notre secours ! Jetez un regard de miséricorde sur nous ! » – « Prie-le, mon enfant ; ce qu’il fait est toujours pour notre bien. Dieu est miséricordieux. » – « Vaine illusion, ma chère mère ! À quoi m’ont servi mes prières ? Il ne les a pas exaucées ; et maintenant elles sont inutiles. »
« Seigneur, ayez pitié de nous ! Quiconque connaît le Père céleste, sait qu’il n’abandonne jamais ses enfants. Le Saint-Sacrement adoucira tes peines, calmera ton chagrin. » – « Hélas ! le feu qui me dévore, aucun Sacrement ne saurait l’éteindre ; aucun Sacrement ne peut rendre la vie aux morts. »
– « Écoute-moi, ma fille ! Qui sait, si, dans ce pays lointain de Hongrie, le perfide n’a pas abjuré sa foi pour contracter une nouvelle alliance. Renonce, mon enfant, renonce à son amour ; Dieu le punira. Quand viendra l’heure fatale de son agonie ; quand son âme devra se séparer de son corps, alors il sera dévoré par les remords, et le souvenir de son infâme parjure deviendra pour lui un impitoyable bourreau. »
– « Pour moi il n'y a plus d'espoir sur la terre, pour moi tout est perdu ; la mort, la mort seule peut me délivrer de mes souffrances. Maudite soit l’heure qui m’a vue naître ! Éteignez-vous, éteignez-vous, mes esprits, éteignez-vous à tout jamais ; rentrez dans le néant où règnent les ténèbres éternelles et épouvantables ! Malheur, malheur à moi ! Dieu n’a point de miséricorde. »
– « Seigneur, ayez pitié de nous ! N’écoutez point la pauvre égarée ! Elle n’a pas conscience des blasphèmes que sa bouche profère ; pardonnez-lui ses paroles injurieuses. Oublie, ô mon enfant, les peines terrestres ; songe à Dieu, à la vie éternelle, et le fiancé céleste ne manquera pas à ton âme. »
– « Ô ma mère ! Qu’est-ce que la félicité éternelle ? Qu’est-ce que l’enfer ? Auprès de Wilhelm je goûte les joies célestes ; séparée de lui, j’endure les tourments de l’enfer. Éteignez-vous, éteignez-vous, flambeau de la vie ; éteignez-vous à tout jamais ! Qu’une nuit éternelle et pleine d’horreurs vous remplace ! Sans lui, je ne veux être heureuse, ni dans ce monde, ni dans l’autre. »
Léonore est arrivée au comble du désespoir ; sa pauvre tête est égarée ; dans ses veines bouillonne un sang enflammé. Elle ne cesse d’insulter la divine Providence par les paroles les plus impies ; elle se déchire la poitrine, se tord les mains jusqu’à ce que la nuit couvre tout de son sombre voile et que les étoiles apparaissent à la voûte des cieux.
Soudain le trépignement d’un cheval retentit au-dehors ; on entend le bruit de l’armure d’un chevalier qui descend de son coursier. Le cavalier s’arrête devant le portail, y frappe doucement et prononce d’une voix intelligible les paroles suivantes :
– « Ohé ! ohé ! Ouvre-moi, mon enfant ! Es-tu endormie ou es-tu réveillée, ma bien-aimée ? M’es-tu restée fidèle ou en aimes-tu un autre ? Es-tu joyeuse ou triste ? » – « Ô ciel ! c’est la voix de Wilhelm ! C’est toi ? Tu arrives bien tard dans la nuit ! Oui, j’ai veillé et pleuré ; j’ai souffert, j’ai enduré des peines cruelles. – D’où viens-tu donc, mon bien-aimé ? »
– « Nous ne sellons qu'au plus fort de la nuit. J’ai fait une longue course ; j’arrive de la Bohême. Je me suis mis en route très tard, et je viens pour t’emmener avec moi. » – « Mais, de grâce, mon cher ami, entre et arrête-toi un instant ! Le vent mugit à travers l’aubépine ; entre, mon bien-aimé, et réchauffe-toi dans mes bras. »
– « Qu’il souffle, mon enfant, qu’il souffle à travers l’aubépine, peu m’importe : Le coursier noir rue et trépigne ; les éperons résonnent ; je ne puis m’attarder ici. Alerte ! Bondis et élance-toi sur le cheval, et place-toi derrière moi ! Aujourd’hui même, je dois encore parcourir cent lieues pour arriver avec toi à la maison nuptiale. »
– « Quoi ? N’entends-tu pas le bourdonnement de la cloche qui vient de sonner onze heures ? Et tu crois pouvoir arriver encore aujourd’hui à la maison nuptiale, à cent lieues d’ici. » – « Regarde autour de toi ! La lune est resplendissante ! Les morts et nous, nous allons vite. Oui, j’ai le temps encore aujourd’hui de te conduire à la chambre nuptiale. »
– « Oh ! dis-moi donc où est ta chambrette et où est ta couche ? » – « Loin, bien loin d’ici !... Paisible, fraîche et petite !... Six planches et deux planchettes ! » – « Y a-t-il de la place pour moi ? » – « Pour toi et pour moi. Allons ! alerte ! Vite sur le coursier noir derrière moi ! Les convives de ma noce nous attendent et la chambre est tout ouverte pour nous. »
La belle fiancée se pare et s’élance sur le cheval. De ses bras blancs comme le lis, elle étreint son fiancé ! Le coursier noir emporte, avec la rapidité d’une flèche, les cavaliers haletants et lance en l’air les graviers et les étincelles.
À droite et à gauche, les prairies, les bruyères et les champs passent devant leurs yeux avec une vitesse vertigineuse ; les ponts sont ébranlés sous les pas du coursier. – « Tu ne t’effraies pas, ma mignonne ?... La lune est resplendissante ! Hurrah ! les morts chevauchent vite !... Tu ne t’effraies pas des morts ? » – « Oh ! laisse en paix les morts ! »
Que signifient ces chants ? Voyez ces corbeaux qui voltigent là-bas ! Les cloches font entendre des accents sinistres. Entendez-vous ces hymnes funèbres ? « Enterrons le mort ! » Un convoi funéraire s’approche ! On aperçoit le cercueil et le drap mortuaire. Quels sons lugubres, semblables aux cris du hibou !
« Après minuit seulement vous déposerez le corps dans la tombe et vous ferez entendre vos cantiques et vos plaintes ! En ce moment je conduis dans ma demeure ma jeune épouse. Venez assister au festin ! Viens, sacristain, viens avec ta troupe, viens entonner le chant de noce ! Viens, prêtre ! Tu nous donneras la bénédiction avant que nous entrions au lit nuptial. »
Musique et chants ont cessé, le cercueil a disparu. Obéissant aux ordres du chevalier, le cortège accourt et le suit de près dans sa course vertigineuse. Ils avancent, ils avancent avec la rapidité d’une flèche ! Cavaliers et coursier sont haletants, les pierres volent, les étincelles jaillissent dans l’air.
Avec quelle vitesse passent à droite et à gauche les montagnes, les arbres, les haies ! Avec quelle rapidité s’envolent, à droite et à gauche, les villages, les bourgs et les villes ! « Tu ne t’effraies pas, ma mignonne ?... La lune est resplendissante ! Hurrah ! Les morts vont vite ! Tu ne t’effraies pas des morts ? » – « Oh ! laissons reposer les morts ! »
Que voit-on là-bas près de la potence ? Des fantômes aériens faiblement éclairés par les rayons de la lune, dansant autour de la roue. « Vite, mes amis, suivez-moi ! Vous nous danserez une ronde au moment où nous allons entrer dans la chambre nuptiale. »
Et la troupe bruyante, semblable aux feuilles desséchées entraînées par le tourbillon, la troupe bruyante se met à suivre le lugubre cortège. Ils avancent, ils avancent avec une vitesse prodigieuse ; cavaliers et coursier sont haletants ! Les pierres et les étincelles volent dans l’air.
Avec quelle rapidité passe tout ce que la lune éclaire ! Comme tout disparaît en un clin d’oeil ! Avec quelle vitesse passent au-dessus de leur tête et le ciel et les étoiles ! « Tu ne t’effraies pas, mon enfant ?... La lune est resplendissante ! Hurrah ! Les morts vont vite ! Tu ne t’effraies pas des morts ? » – « De grâce, laissons reposer les morts ! »
– « Coursier, coursier ! Il me semble entendre déjà le chant du coq ! Bientôt notre heure sonnera. Coursier, coursier ! Je sens l’air du matin ! En avant, en avant ! Nous voici arrivés au terme de notre voyage ! Le lit nuptial est près de nous ! Les morts vont vite ! Nous voici arrivés au but. »
Le coursier noir se précipite vers le portail de fer ; un coup de baguette du chevalier suffit pour briser serrure et verroux. La porte s’ouvre avec fracas ; le cortège passe rapidement par-dessus les tombes ; tout autour, on aperçoit des pierres tumulaires, éclairées par la lumière argentée de la lune.
Et voyez, voyez ! Spectacle horrible ! Prodige épouvantable ! L’armure du cavalier se détache de son corps, pièce par pièce, et tombe à terre comme des lambeaux usés. La tête, dépouillée de cheveux, n’est plus qu’un crâne nu ; son corps s’est transformé en un squelette qui porte dans ses mains la faux et le sablier.
Le coursier noir se cabre, souffle avec violence et fait jaillir des étincelles ; puis il disparait dans un gouffre. Des hurlements remplissent les airs, des gémissements sortent du sein de la terre. Léonore tressaille dans tout son être et lutte en vain contre la mort.
Et la lune resplendissante inonde de sa douce lumière les tombes et les pierres tumulaires ; les esprits dansent la ronde et chantent d’une voix sinistre : « Patience ! patience ! lors même que ton coeur devrait se briser. Ne murmure point contre la Providence divine ! Ton corps va redevenir poussière ; que Dieu ait pitié de ton âme ! »
Traduit de l'allemand par Jean Nida.
(Illustrée par Horace Vernet, 1839) | |
| | | Keridwen Seigneur du Portail
Nombre de messages : 2170 Localisation : Au pied de la Porte du Diable Actes nécrophiles : 6 Hommes torturés : 1913 Date d'inscription : 20/05/2006
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| Sujet: Re: La princesse vampire Mar 30 Oct - 10:25 | |
| Bah, et la Lénore perdue de Poe ? et Le roi des aulnes ? En plus des sorcières, on a des preues archéologiques de vampirisme ? Trop bien comme métier scientifique.... | |
| | | Milady de Sade Maître en Sorcellerie
Nombre de messages : 392 Age : 31 Localisation : Québec, mon pays! Actes nécrophiles : 0 Hommes torturés : 5 Date d'inscription : 29/05/2007
| Sujet: Re: La princesse vampire Mar 30 Oct - 11:33 | |
| Si vous avez une heure ou deux à perdre, des petits videos sur une petite fille un peu morbide, Lenore, inspiré du poème d'Edgard Alan Poe:
http://www.nightrose.com/lenore.htm | |
| | | Van Orteil de Spaulding
Nombre de messages : 20 Actes nécrophiles : 0 Hommes torturés : 0 Date d'inscription : 09/08/2008
| Sujet: Re: La princesse vampire Sam 9 Aoû - 21:52 | |
| Vous pouvez pas imaginer le temps que j'ai mit a retrouver le nom de cette pauvre femme...j'ai vachement galéré... Ce documentaire je l'ai vu sur arte y'a super longtemps mais c'etait tellement enorme comme histoire que je m'en suis toujours souvenue (bon dans les grandes lignes evidemment)...heureusement je suis tombée sur ce forum qui m'a enfin révélé le nom de cette dame, alors toute contente, je me rend sur google a la recherche d'un article de mon ami wikipédia...et la quelle ne fut pas ma deception! le seul article valable (enfin je pense) que j'ai pu trouver etait en allemand, langue que je ne connais absolument pas...alors voila je reste sur ma fin et c'est nul...je pense que ca serait super si arte voulait bien repasser le documentaire...qui se dévoue pour ecrire une lettre? | |
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| Sujet: Re: La princesse vampire | |
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