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 Le livre du mystère : DES GNOMES DANS LA PRÉHISTOIRE

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ElricWarrior
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MessageSujet: Le livre du mystère : DES GNOMES DANS LA PRÉHISTOIRE   Le livre du mystère : DES GNOMES DANS LA PRÉHISTOIRE EmptyMer 30 Sep - 12:21

DES GNOMES DANS LA PRÉHISTOIRE



PAR ENRICO LUIGI BONI









En octobre 1938, deux chercheurs d’or américains firent une découverte extraordinaire qui n’a pas encore reçu à ce jour d’explication. A la suite d’une explosion provoquée dans les monts Pedro, à une centaine de kilomètres de Casper (Wyoming), ils mirent au jour une grotte large d’environ 1,20 m et profonde de 5 mètres, incluse dans une masse granitique.

A l’intérieur, assise les jambes croisées sur un socle de pierre, ils trouvèrent une minuscule momie. Apportée à Casper, elle fut soumise à des examens approfondis par plusieurs savants, lesquels furent incapables d’expliquer comment elle avait pu être ensevelie dans une caverne au cœur d’un bloc de granit.

Mais ce n’est pas là le seul problème soulevé par cette découverte. En effet, la momie, assise, est haute seulement de 22 centimètres et pèse 350 grammes. Les traits du visage sont parfaitement conservés. La peau est de couleur bronzée, le front bas et le nez très aplati. Les savants s’accordent à reconnaître qu’au moment de sa mort, l’être devait avoir plus de soixante ans. L’examen aux rayons X a révélé que la denture, les vertèbres et le bassin étaient incontestablement humains.

Le conservateur du musée égyptologique de Boston a déclaré que la momie a l’aspect de celles découvertes sur les rives du Mil, qui ne sont pas enveloppées de bandelettes. Le Dr Henry Fairfield a baptisé cette mystérieuse créature Esperopithecus, en essayant de la classer parmi les divers hominidés ayant vécu en Amérique du Nord à l’époque pliocène, c’est-à-dire il y a onze millions d’années. Malheureusement, les savants « classiques » n’ont pu assigner à la momie une place dans leurs schémas darwiniens. C’est pourquoi la momie, datant d’une époque à laquelle aucune créature humanoïde n’a pu exister (!) a été reléguée, oubliée de tous, au musée d’une petite ville américaine.

En fait, cela n’arrive pas seulement en Amérique. Nombre de savants ont jugé plus commode « d’oublier » l’importante découverte du Pr Johannes Hürzeler qui, en 1958, à Baccinello, près de Grossetto (Toscane) mit au jour l’oréopithèque, un préhominien ayant vécu il y a environ 10 millions d’années.

Selon certains chercheurs, les premiers habitants du Nouveau Monde auraient été des négroïdes. Il existe à ce sujet deux théories : selon les uns, les hominiens seraient partis du Sud-Est asiatique, selon les autres, ils seraient originaires de l’Asie centrale. Le détroit de Behring aurait servi de lieu de passage à des êtres minuscules à une époque antérieure à la dernière migration connue, qui eut lieu à une date relativement récente.

Quoi qu’il en soit, il y a trop de légendes, répandues dans le monde entier, relatives à des êtres de très petite taille pour qu’elles soient seulement le produit de l’imagination. En Europe occidentale comme en Inde, chez les Peaux-Rouges comme chez les Esquimaux, les traditions populaires parlent d’elfes et de lutins.

L’histoire du Petit Poucet, par exemple, se retrouve sous une forme presque identique chez les Cherokees établis actuellement dans l’Oklahoma et la Caroline du Nord. Selon cette tradition, le Soleil – divinité suprême et féminine – créa une créature minuscule, Wen-de-hat (et Wendat est le nom d’une tribu qui existe encore aujourd’hui), qui avait pour tâche de dérober les mocassins ailés de son rival, le Tonnerre.

Selon l’anthropologue britannique Margaret Murray, auteur du célèbre Dieu des sorcières, la race naine, qui peupla jadis de vastes régions de la Terre, « bien qu’elle ait laissé peu de vestiges matériels, a survécu dans d’innombrables histoires de fées, de gnomes et d’elfes ».



… Et une géante du Moyen Age



Durant la campagne de fouilles de 1971, le Groupe archéologique de la ville de Teramo, dans les Abruzzes, découvrit les restes d’une « géante » dans une grotte des monts de la Laga, à peu près à la limite entre les Abruzzes et les Marches.

Cette étonnante géante, morte entre 1100 et 1200 de notre ère, a été enterrée de façon tout à fait inhabituelle. Dans la main gauche elle tient une barre de fer et de cuivre, portant un crochet à une extrémité et entourée par un filet métallique oxydé.

Les circonstances de la mort restent mystérieuses. « La femme – écrit Delfino Fregonese, le directeur des fouilles – âgée de vingt-deux à vingt-cinq ans, a été frappée par un objet pointu, peut-être par une épée, au milieu du front, mais le coup ne fut pas mortel. Elle mourut plus tard d’une seconde blessure provoquée peut-être par une hache. On enleva au cadavre la matière cérébrale. La calotte crânienne fut découpée de façon rudimentaire. La jeune femme dut subir une terrible opération, probablement alors qu’elle agonisait. Pourquoi ? »

On en est réduit aux hypothèses. On peut penser à une « sorcière » atrocement suppliciée, d’autant plus que la pauvre créature porte la trace de plusieurs fractures à la mâchoire, faites avant qu’elle soit tuée. Il se pourrait aussi qu’il s’agisse d’une Souabe car, ainsi que le note le Pr Enzo Mazzoni, les feudataires de Frédéric II arrivèrent dans les terres qui leur avaient été attribuées avec une suite d’hommes et de femmes. Si « Germana », ainsi qu’a été baptisée la géante, faisait partie de ces dernières, elle est peut-être tombée sous les coups des vainqueurs de la bataille de Bénévent (1266).

La seconde hypothèse nous paraît vraisemblable, surtout parce que « Germana » constitue le seul exemple d’une femme enterrée en Italie avec ce qui est manifestement une arme à la main. Honneur réservé aux guerrières particulièrement braves, chez certaines populations nordiques, comme on peut en relever des exemples à la Carolina Rediviva, la bibliothèque de l’université suédoise d’Upsal. En plus des blessures déjà mentionnées, on a relevé une fracture du bassin survenue vers l’âge de douze ou treize ans et soudée naturellement.

On se perd en conjectures sur le découpage de la calotte crânienne et l’extraction de la matière cérébrale. Certains ont parlé d’un rite médiéval saxon, mais l’explication n’est guère convaincante, car il n’est fait mention nulle part de pratiques de ce genre dans les bibliothèques de Hambourg, de Copenhague et d’Upsal.

Les journaux ont parlé de « roman policier médiéval », ce qui nous paraît assez juste, même si l’on retient la seconde hypothèse et que l’on écarte celle de la chasse aux sorcières. Cette supposition est étayée surtout par le fait que certains peuples nordiques n’accueillaient parmi les guerriers que quelques représentantes du sexe féminin ayant fait la preuve qu’elles étaient les égales des hommes par leur stature, leur force physique et leur caractère belliqueux.

Rappelons à ce sujet les travaux d’Ivar Lissner et les récentes hypothèses de la doctoresse soviétique Sonia Petrovna, selon qui les populations préslavonnes de l’Oural auraient tenu en grande estime leurs femmes guerrières. Ces amazones n’abdiquaient d’ailleurs pas forcément toute féminité, puisqu’on allait jusqu’à importer des parfums d’Egypte, comme l’atteste un flacon découvert à Omsk et datant du Ve siècle avant notre ère (cf. L’Europeo du 21 octobre 1971).

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