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 Le livre du mystère : DISPARITIONS MYSTÉRIEUSES

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ElricWarrior
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MessageSujet: Le livre du mystère : DISPARITIONS MYSTÉRIEUSES   Le livre du mystère : DISPARITIONS MYSTÉRIEUSES EmptyMer 30 Sep - 12:22

Comment se fait-il que des groupes de personnes, des navires, des avions, des armées, des peuples même, disparaissent sans laisser de traces ?

L’esprit de l’homme moderne exige des explications, des définitions, même si elles n’ont qu’un caractère verbal. Devant le mystère, l’homme est saisi par la « crainte de l’inconnu ». S’il ne trouve pas une solution plausible, il esquive le plus souvent le problème en le niant ou en le mettant sur le compte de la superstition, de la supercherie ou d’une erreur des sens.

Des milliers de phénomènes mystérieux sont irréductibles aux lois naturelles répertoriées par la science dans l’état actuel de nos connaissances. Aussi a-t-on avancé maintes hypothèses, discutables et discutées, qui ne sont que des tentatives d’explication rationnelle. Beaucoup devront sans doute être rejetées au fur et à mesure que progressera notre savoir, certaines serviront peut-être d’utile incitation « à la recherche, d’autres enfin devront être imaginées pour tâcher d’éclairer de nouveaux systèmes ou en fonction des nouveaux acquis de la science. Mais toutes sont le fragile et tenace témoignage de l’intelligence humaine, dans son effort inlassable et passionné pour déchiffrer le grand livre de la nature.

Voici quelques-uns de ces faits qui défient la logique et devant lesquels la raison s’effare…

On estime que plusieurs tonnes d’« objets » sont perdues chaque jour dans le monde, sans qu’on sache ce qu’ils deviennent. La disparition de corps de petites dimensions s’explique aisément, mais que doit-on penser des avions et des bateaux dont on ne retrouve aucune trace ? Certains prétendent qu’il existe des « caches » secrètes en certains endroits, par exemple entre les Bermudes et la capitale de la Jamaïque, Kingston.

Le 24 janvier 1948, le commandant d’un quadrimoteur britannique en vol déclarait dans son dernier message avec le sol que tout allait bien à bord et qu’il atterrirait dans quelques minutes. A ce jour, on n’a retrouvé aucune trace de l’appareil, ni de l’équipage ni des passagers. Le 17 janvier 1949, un fait semblable se produisit au même endroit. Un quadrimoteur américain, commandé par J. C. McPhee, disparaissait sans laisser de traces. Le 5 décembre 1945, un avion d’entraînement avait disparu dans la même zone et quatre autres appareils, de différents types, subirent le même sort.

Toutes les enquêtes n’aboutirent à aucun résultat, on ne trouva aucun indice ou vestige pouvant constituer un début de piste ou d’explication, et les dossiers furent classés.

En 1947, un avion ayant 32 personnes à bord tomba dans le glacier de Tahoma, au nord du Canada. L’appareil fut retrouvé, mais on se trouva devant un mystère encore plus grand : il n’y avait à bord aucun signe de vie ni aucune trace ou empreinte à l’extérieur et dans les abords immédiats. On n’a jamais su ce qu’étaient devenus les 32 passagers de l’appareil.



Navires et soldats qui « s’évaporent »



En 1872, l’Iron Mountain ayant quitté le port de Vicksburg, sur le Mississippi, pour Louisville, disparut corps et biens avant d’avoir atteint sa destination. Le bâtiment transportait 55 personnes – équipage et passagers – et une importante cargaison de coton. Le trafic maritime sur cette partie du fleuve était assez actif, et il y avait toujours un certain nombre de bateaux se suivant ou se croisant. L’Iron Mountain disparut environ un quart d’heure après avoir quitté Vicksburg. L’hypothèse d’un naufrage fut soigneusement examinée et elle dut être écartée. Car dans ce cas, les balles de colon qui constituaient le fret et qui étaient arrimées sur le pont, auraient été retrouvées en train de flotter. Un incendie aurait attiré l’attention des autres navires ou des riverains ; il en aurait été de même si le bateau s’était échoué sur quelque bas-fond. De tous les autres navires qui croisaient dans les parages à la même heure, il est étonnant que seul le Chief Iroquois ait signalé la présence de l’Iron Mountain quelques minutes après son départ de Vicksburg. Ensuite, personne ne revit plus qui ou quoi que ce soit ayant été à bord du malheureux bateau. Le navire danois Kjobenhavn, après avoir quitté Montevideo en décembre 1928, disparut lui aussi comme par enchantement. Il y avait à bord 59 cadets de l’Académie navale danoise, revenant d’une réception offerte par l’ambassadeur de leur pays en Uruguay.

Il est plus facile d’admettre la disparition d’un navire, qui peut sombrer corps et biens même si on n’en peut retrouver aucune trace, que… la volatilisation d’un bataillon de 650 hommes. En 1858, trois compagnies des troupes coloniales françaises qui faisaient route vers Saigon, en Indochine, s’évanouirent comme par magie. Malgré toutes les recherches, on n’a jamais réussi à éclaircir ce mystère. On put établir qu’aucun engagement n’avait eu lieu à cette date et à cet endroit et que nul ne revit jamais aucun soldat du bataillon.

Le 10 décembre 1939,3100 soldats chinois reçurent l’ordre de marcher sur Nankin pour défendre la ville menacée par l’avance japonaise. Dès que les troupes eurent rejoint les positions défensives établies à l’avance, les soldats se retranchèrent en attendant l’attaque. Avant de se retirer pour la nuit au quartier général, distant de quelques kilomètres, Li Fou Sien, le commandant en chef, inspecta personnellement ses hommes. Le lendemain matin, de bonne heure, il fut réveillé brusquement par son aide de camp. Celui-ci n’avait pu réussir à établir une liaison téléphonique avec les troupes. Quand Li Fou Sien et l’aide de camp arrivèrent aux retranchements, ils les trouvèrent vides, à l’exception d’un groupe de soldats qui occupaient une position un peu plus avancée.

Ceux-ci déclarèrent n’avoir rien remarqué ou entendu pendant la nuit et qu’il n’y avait pas eu combat. Les feux de camp brûlaient encore, les pièces d’artillerie étaient en place. La nouvelle d’une reddition en masse ne fut jamais diffusée par les autorités japonaises. C’est d’ailleurs une hypothèse irrecevable, de même que celle d’un massacre. Il n’en reste pas moins que 2988 soldats chinois disparurent comme s’ils s’étaient évanouis dans le néant !

Quelle hypothèse peut-on émettre ? Que ces hommes glissèrent dans un repli de l’espace-temps ?

Qu’ils passèrent dans un univers parallèle par une porte, une faille inopinément ouverte dans notre continuum ? Qu’ils furent enlevés par des « ravisseurs cosmiques » ? Pourquoi ? Tout cela n’explique rien, mais à données fantastiques, solutions fantastiques.



L’homme volatilisé !



Des milliers de personnes disparaissent tous les ans dans toutes les grandes villes du monde. Les journaux sont remplis d’avis de recherches, avec signalement, signes particuliers, vêtements portés par des personnes sorties faire un tour et que l’on n’a jamais plus revues. Beaucoup le font volontairement pour commencer une nouvelle vie, d’autres pour fuir leurs responsabilités. Mais le cas que voici est pour le moins déconcertant.

Le 23 septembre 1880, l’agriculteur David Lang, du Tennessee, aux Etats-Unis, sortit de chez lui pour aller dans un champ lui appartenant. Sa femme le regardait d’une fenêtre et lui cria quelque chose. Ses enfants, George et Sarah, âgés respectivement de huit et onze ans, jouaient dans le potager et s’arrêtèrent pour voir arriver une charrette dans laquelle avaient pris place un valet de ferme et le juge August Peck, un ami de la famille. La mère et les enfants appelèrent David Lang à grands cris mais, exactement à ce moment, celui-ci disparut, se volatilisa littéralement, comme disparaît de l’écran un personnage quand le projecteur cesse de fonctionner par suite d’une panne de courant. Tout le monde, y compris le juge Peck, courut vers l’endroit précis où David avait disparu : aucune trace. Les journaux déclarèrent par la suite qu’à l’endroit même de la disparition, dans un rayon de 2 mètres, l’herbe avait jauni et ne repoussait plus. Quelques mois plus tard, les enfants du disparu s’arrêtèrent par hasard au même endroit pendant quelques minutes. Epouvantés, ils rentrèrent chez eux en courant et racontèrent qu’ils avaient entendu la voix de leur père qui appelait désespérément à l’aide.

D’après la Bible, Jonas fut avalé par une « baleine » et en ressortit vivant trois jours plus tard. Or, la même aventure est arrivée réellement à un marin britannique âgé alors de vingt et un ans, James Bartley. En 1891, le baleinier anglais Star of the East naviguait à proximité des iles Malouines, au large des côtes d’Argentine, quand un cachalot fut signalé. Une partie de l’équipage s’arma de harpons et sauta dans une chaloupe. Celle-ci fut fracassée par le monstre blessé. On recueillit les marins, mais Bartley avait disparu. L’animal fut capturé quelques heures plus tard. Au moment du dépeçage, on ouvrit l’estomac et on trouva Bartley, inconscient mais vivant. Il avait passé quinze heures dans le ventre du cachalot et vécut encore dix-huit ans après son aventure, unique dans les annales de la mer.

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