Tortures, sacrifices, satanisme ?

En 1999, je tombais par hasard sur ce reportage sur FR3, je l'ai redécouvert un soir sur Dailymotion.
Qu'en pensez vous ?

Difficile, d'un coté le journalisme d'investigation nous montre souvent un seul côté d'un problème, rien n'est jamais très objectif (et celui-là est quand même assez mal fait non?), et puis les théories du complot je suis toujours sceptique. D'un autre coté il existe de tels trucs que ca reste tout à fait plausible. Très complexe comme sujet.

Ne s'agit-il pas d'un reportage où certaines personnes, dont la juge, ont eu des problèmes d'intimidation ?

J'ai déja déja vu cette vidéo, ou une version un peu différente. Bien sûr que les abus sexuels et sadiques sur les enfants existent, mais ce reportage ne m'inspire pas confiance, ne serait-ce que par son coté sensationaliste: musique sinistre avec commentaire du genre "vous allez voir comment c'est horrible ce qu'on va vous montrer" et bien sur toute une théorie du complot sur le réseau super-puissant protégé de trés haut!
Que ces enfants aient subis ces abus semble évident, d'ici à admettre l'existence d'un super réseau avec protections politiques, j'ai des doutes...

On retrouve là les théories sur les "milliers d'enfants sacrifiés dans des rituels sataniques" qui sont pour le moins douteux: on pourrait comme ça tuer des tas d'enfants tout en gardant ça secret?

Ces enfants ont été abusés sexuellement, ça me semble sûr: quand au reste, c'est très douteux. De plus il devient trés difficile de garder la tête froide dés qu'il s'agit d'enfants victimes, et ce documentaire joue justement sur l'émotion plutôt que sur la volonté de chercher la vérité!

Le montage est assez mal fait mais par contre ce qui m'intrigue c'est la procureur qui parle de charnier d'enfants sur Paris.
A la suite de ce reportage, il y'a eu un important ménage pour les intervenants.
Et enfin les descriptions des enfants concernant ces "réunions' sont tout de même assez étrange...

C'est là que ca colle pas: on nous parle de charnier d'enfants (Mais ce sont "des choses dont on a eu connaissance" pas que ce procureur a vu, peut être des rumeurs comme les filles qui disparaissaient dans les cabines des commercants juifs d'Orléans ou de Taty à Paris! Par ce qu'enfin, refléchissont: DES CHARNIERS D'ENFANTS auraient été retrouvés prés de Paris et l'affaire aurait été étouffée? Et les victimes non indentifiées? et pas recherchées par leurs parents?
La franchement ça colle pas à mon avis...


A noter aussi l'histoire des snuf-movies dont on a beaucoup parlé à une époque, mais aucun service de police n'a put en fournir...

Je ne sais que trop bien ce qui peut arriver a des malheureux enfants entre les mains de pervers ou de dégénérés, mais ca arrive en général dans les familles ou avec des proches de la famille, pas tellement dans des sectes sataniques organisées protégées par des membres du gouvenement...Ca c'est un peu du fantasme cinématographique avec une bonne dose de populisme "Ces salauds de riches se tapent nos gosses impunément"...

Excusez mais je doute...,

Sinon savez vous que les dirigeant des USA sont en fait les descendants d'extra-terrestres reptiliens?

http://fr.youtube.com/watch?v=94dtQFUvN38

Je suis ok avec toi Darkside mais comment se fait il qu'un procureur de la république puisse dire ça à la télé ?

Martine Bouillon (la substitut du procureur de Bobigny, qui révèle en direct sur le plateau TV l'existence en Seine Et Marne de CHARNIERS D'ENFANTS) a été mutée en province par le Conseil Supérieur de la Magistrature (dans lequel siège le President de la République) le lendemain matin de la projection tardive du documentaire.
Sous le pretexte : " d'atteinte à la délicatesse ".
Le Haut Magistrat qui lui a assigné l'ordre de mutation a été mis en examen par la suite pour pédopornographie mais a été blanchie.
Martine Bouillon se refuse desormais à tout commentaire sur cette affaire déclarant seulement qu'elle " a des personnes à protéger ".

Les maladresses de montage, qui font un peu matraquage, et les fautes d'orthographes nuisent à la crédibilité du message. il me parait également assez invraisemblable que l'on puisse découvrir tout un tas de nonosses sans qu'aucune organisation ne soit prévenue, ne serait ce que archéologique. Tas de nonosses = cimetière, et ça se fouille. A moins qu'il semble évident que ce soit moderne. Mais je suis peut être un peut déformée à ce niveau là.

Il n'en reste pas moins que la détresse de ces gosses est réelle. Et hélas, la vie ne vaut pas bien cher de nos jours. Mais à ce point là?

Citation :

les fautes d'orthographes nuisent à la crédibilité du message

"Mauvaise foie évidente", en effet, bonjour l'ortographe pour ce qui se présente comme une enquête d'investigation super sérieuse!



Que la substitue du procureur ai été mutée le lendemain pour "atteinte à la délicatesse" bien sûr je n'en sias rien, c'est juste une idée mais c'est peut être justement pour avoir avancé des thèses pour le moins audacieuses sans preuve, ce qui n'est pas ce qu'on attend d'un magistrat...Parler de "Charnier d'enfants", justement, "dont elle a eue connaissance", mais sans qu'on sache comment ni surtout quelle suite y a été donnée...Si on découvrait un charnier prés de Paris il me semble difficle que ça reste caché même si des pressions existaient!

Malheureusement les abus sexuels et les maltraitances diverses sur les enfants existent, sauf que ce genre de reportage cherche plus à faire du sensationel qu'à proteger les enfants!

D'ailleurs s'il y a avait un tel complot pour cacher la vérité on se demande pourquoi cette vidéo circule toujours sur internet!

Et quel est ce magistrat dont cet homme, qui se présente comme son fils, parle à la fin du reportage ?

tout cela est vraiment très étrange.

Mais en admettant que tout cela ne soit que fantasmagorie et qu'il n'existe aucun groupement, aucune pression, aucun mystère. Dans quel but essaye t-on de nous faire imaginer qu'il y en a ? La manipulation vaut dans les deux sens. S'il y en a , pourquoi le couvrir, s'il n'y en a pas, pourquoi nous le faire croire ?

On est pas près d'avoir une réponse.

Je me pose la même question que toi Keridwen, je n'y comprend rien, peut-être s'agit-il de cacher quelques actes pervers en les enrobant dans du fantastique afin de détourner la vérité ?

Il en ressort des enfants traumatisés à vie dans tous les cas, soit parce que c'est vrai, soit parce que on les a mêlés à une telle histoire.

Citation :

Je suis ok avec toi Darkside mais comment se fait il qu'un procureur de la république puisse dire ça à la télé ?

Elric
Là aussi, que penser, elle a perdu son emploi après cela ou elle a été mutée, ce n'est pas ça?

Je suis tombée par hasard, sur un ancien article de presse.

Où commence la vérité, où commence le délire, difficile à dire.

Dans tous les cas, s'il y a une vérité ou une leçon à en tirer, elle est dans le dernier paragraphe.

"...si les adorateurs du Malin ne peuvent pas se passer de l’Eglise, elle aussi semble avoir besoin du démon. Pourquoi le Vatican exalte-t-il à ce point l’importance du diable ? « S’il était plus modéré, s’il mettait la sourdine, le fameux antagonisme entre le Bien et le Mal, qui attire tant de fidèles, s’écroulerait d’un coup », répond Strano. A moins que cette mise en avant du Mal n’obéisse à des impératifs beaucoup plus matériels que spirituels. Les tarifs pratiqués par les prêtres pour les exorcismes sont en effet prohibitifs : entre 6 000 et 30 000 euros...


Si les tarifs sont exacts, c'est à méditer....
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Messes noires, sacrifices et « magie sexuelle »
Quand Rome vend son âme au diable
Nouvel Observateur sept. 2004

La Ville éternelle, capitale de Satan... Qui l’eût cru ? Et pourtant. A l’ombre du Vatican se multiplient les sectes et les cultes dédiés au Malin. Pour le bonheur des exorcistes
De notre correspondante

Il y a ceux qui veulent se mettre au diapason avec le « hurlement de la Bête éternelle ». Ceux qui veulent « jouir sans entraves ». Ceux pour qui Satan est un « allègre compagnon » d’équipées nocturnes. La voilà, la masse des « satanistes » de Rome, qui font une consommation effrénée de messes noires, d’épées, de capuchons, de crucifix renversés, de tombes retournées, d’animaux égorgés, de hard rock, de bougies, d’orgies, de violences (sur les femmes surtout). Et de drogue. Ces troupes de choc du « satanisme acide » fréquentent 700 sites et 322 clubs on-line. La nuit tombée, ils se déversent dans le Trastevere ou sur le Campo dei Fiori. On les reconnaît à leur look de vampire : tee-shirts sombres ornés de l’étoile à cinq branches, ongles peints en noir, le cou cerclé d’ossements. A la lumière, ils préfèrent les ténèbres ; au principe d’autorité, celui de désobéissance. Ils sont à la recherche d’une manifestation aussi effrayante que possible de leur anticonformisme. Belzébuth est là pour les satisfaire.

« Un jeune Romain sur deux est effleuré par le discours sur l’occulte », soutient le Gris, une émanation de la Conférence épiscopale italienne qui surveille les sectes depuis quinze ans. « Un sur cinq a vendu son âme au diable », précise padre Gabriele Amorth, 80 ans, exorciste officiel du diocèse de Rome (voir son portrait ci-après). Adeptes du bricolage spirituel, ces jeunes satanistes ne forment le plus souvent que des groupes occasionnels de cinq ou six membres, dont les rituels approximatifs servent en fait de toile de fond à leur consommation de drogue. Raffaella Di Marzio, professeur d’histoire des religions, a ainsi découvert que plusieurs de ses élèves brûlaient des images pieuses autour d’un feu de bois dans un asile psychiatrique désaffecté, tuaient des chats et buvaient leur sang, juste avant de se faire une injection d’héroïne. « Ils mimaient le satanisme véritable », explique cette spécialiste, selon laquelle le phénomène toucherait à Rome près de 5 000 adolescents.

Rien à voir avec les vrais adversaires de l’Eglise, ceux qui n’ont pour seul dieu que Satan. Organisés en sectes, ces professionnels de la subversion anticatholique, souvent issus de milieux bourgeois, ont été stimulés par l’activisme de Jean-Paul II, le pape qui a soutenu que le démon existait en chair et en os, et qui a pratiqué personnellement un certain nombre d’exorcismes. Si les diables prospèrent dans la Ville éternelle, c’est donc à l’ombre de Saint-Pierre. « Rome est au centre d’intérêts magiques si importants qu’elle mérite le titre de capitale du spiritisme », confirme Massimo Introvigne, le plus grand expert en sectes.

Les adeptes du Malin vont même jusqu’à calquer leur agenda sur le calendrier catholique. Béatifications, fête de l’Assomption, anniversaire du pape… chaque échéance religieuse importante pour la chrétienté leur donne l’occasion de réagir. Lors du Jubilé 2000, la police avait ainsi mis au jour à Santa Maria di Galeria plusieurs grottes soigneusement équipées pour ce type de célébrations, avec statues de Lucifer en plâtre, inscriptions murales à la gloire du Malin, cuvettes remplies de sang coagulé, croix renversées et brisées… Dans l’appartement d’un avocat du quartier du Colisée, à la même époque, les carabiniers ont trouvé des ampoules remplies de liquides non identifiables, des symboles ésotériques, des crucifix la tête en bas, des statues faites d’ossements, des christs à la langue fourchue : des dizaines de membres des professions libérales y faisaient leurs sabbats. Nom du groupe : la Secte du Latran. Adhérents : une centaine. Les plus sanguinaires de la capitale. Selon la psychologue Silvana Radoani, ces derniers pratiqueraient encore des sacrifices sur des fœtus et même sur des nouveau-nés. Mais ces supputations n’ont jamais été corroborées par la police.

Pour les spécialistes, trois autres sectes « professionnelles » se partagent les faveurs des Romains. La première est l’Ordo Templi Orientis, dit OTO, dont les adeptes étudient la cabale, prônent la « magie sexuelle » comme thérapie et n’ont qu’une seule devise : « Fais ce que tu veux, ce sera ta loi. » Leurs appartements, via Tomba di Nerone ou via Trionfale, sont couverts de miroirs qui « reflètent l’énergie développée pendant les rituels », où se mêlent sexe, astrologie, ésotérisme et autres préparations de philtres, à base de sécrétions d’hommes et de femmes. Les adeptes y atteignent le « huitième degré du plaisir » grâce à la « masturbation magique ». Quant au neuvième, Massimo Introvigne le résume en ces termes : « Après s’être préparé par le jeûne, l’adepte d’OTO célèbre le sacrifice de l’eucharistie, qui implique un coït qui dure au moins une heure. »

Autre chapelle satanique renommée : l’Eglise noire luciférienne. Très active jusqu’à la mort de son fondateur Efrem del Gatto en 1998, cette dernière semble toutefois s’être mise en sommeil depuis. Comme Jean-Paul II, Efrem prétendait avoir rencontré le Malin en chair et en os : « Pas de cornes, pas de soufre, pas de queue fourchue, disait-il. Le diable est un bel homme. » Il officiait viale Marconi et dans un garage de Pomezia, décoré de « masques africains, de fétiches et de reproductions du diable », raconte l’anthropologue Cecilia Gatto Trocchi, qui précise que « le chef s’y accouplait avec une chevrette sur un fond de musique pseudo-religieuse ».

Dernier avatar du satanisme made in Roma : le groupe placé sous l’égide d’un certain Ieronimus, qui organisait des initiations, des pactes avec le diable et autres messes noires avant d’être trahi par deux « repenties ». La première a raconté à la police : « J’ai été couverte de myrte et d’encens. Le grand prêtre a lu des oraisons à la gloire de Lucifer, a égorgé un pigeon, puis il a versé son sang dans une coupe, y a trempé ses lèvres et nous a ordonné à tous de faire de même. Après s’être couché sur une fille, il a dit : “Venez, embrassons-nous.” Les lumières se sont éteintes. J’ai entendu des voix, des soupirs, des gémissements. Je me suis enfuie. » L’autre repentie : « J’étais enfermée dans une pièce, couverte de sang de pigeon et j’ai eu des rapports sexuels avec douze hommes. Contre nature évidemment, comme l’impose le rituel satanique. Le lendemain j’ai pris le large. »

Prendre le large : ce n’est pas toujours facile. Car l’omerta des sectes est aussi forte que celle en vigueur chez Cosa Nostra. Et les pratiques des satanistes rappellent souvent les méthodes de la Mafia : menaces, violences… Sous le soleil de Satan, le rapport avec l’argent est lui aussi bien réel. « Je me souviens d’une secte de Tivoli, raconte le commissaire romain Antonio Del Greco. Un soi-disant “prêtre noir” conseillait aux jeunes femmes qu’il réussissait à enrôler de déposer des liasses de billets tachés d’une goutte de sang sous leur matelas et de faire un vœu. Si les liasses disparaissaient, c’est que le diable avait l’intention d’exaucer leurs désirs »…

Reste que le lien particulier qui unit les satanistes à l’Eglise laisse certains enquêteurs songeurs. Comme Marco Strano, un policier spécialisé dans les crimes informatiques et les sectes on-line, qui relève que si les adorateurs du Malin ne peuvent pas se passer de l’Eglise, elle aussi semble avoir besoin du démon. Pourquoi le Vatican exalte-t-il à ce point l’importance du diable ? « S’il était plus modéré, s’il mettait la sourdine, le fameux antagonisme entre le Bien et le Mal, qui attire tant de fidèles, s’écroulerait d’un coup », répond Strano. A moins que cette mise en avant du Mal n’obéisse à des impératifs beaucoup plus matériels que spirituels. Les tarifs pratiqués par les prêtres pour les exorcismes sont en effet prohibitifs : entre 6 000 et 30 000 euros...

Marcelle Padovani

Oui, tout ça me semble quand même dans le même style que les émissions de M6: du sensationel et pas mal de choses pour choquer le bourgeois!
Les amalgames habituels entre des jeunes gens qui se donnert un look "satanique" pour s'affirmer et se démarquer :

Citation :

On les reconnaît à leur look de vampire : tee-shirts sombres ornés de l’étoile à cinq branches, ongles peints en noir, le cou cerclé d’ossements

de quelques marginaux et/malades mentaux qui vont profaner eglises ou cimetierres, de comportements aussi dangereux de certains:

Citation :

Raffaella Di Marzio, professeur d’histoire des religions, a ainsi découvert que plusieurs de ses élèves brûlaient des images pieuses autour d’un feu de bois dans un asile psychiatrique désaffecté, tuaient des chats et buvaient leur sang, juste avant de se faire une injection d’héroïne

...Avec un véritable culte du diable!

Quand aux vraies "sectes sataniques", sans doute il y en a, ne serait ce que ceux qui utilisent le pretexte occulte pour se livrer à des partouzes ou qui se donner des sensations fortes... d'ici à raconter qu'on sacrifie encore des bébés à Satan! Et je pense que ces comportements sont le fait de tout petits groupes, pas une sorte de phénomène en pleine ampleur comme le suggère cet article!

Ce n'est pas parce que des jeunes portent des petites croix ou des médailles que le christianianisme est en force dans la jeunesse, ce n'est pas parce que des jeunes romains portent des croix ou des pentagrammes renversés que le satanisme se répand!

Je suis tout à fait d'accord avec toi Darkside, ce qui m'a surpris dans ce document, c'est le fait qu'ils s'en prennent également au Vatican, et le prix d'un exorcisme, mieux vaut ne pas être possédé si l'on n'est pas trop fortuné

J'ai des doutes quand même sur ces tarifs...Est ce que ce ne serait pas plutôt des tarifs d'exorcistes "sauvages" ou issus d'Eglises paralèlles?

Ma sœur me disait qu'il était très difficile de prendre le témoignages d'enfants. en effet, la frontière entre réalité et imagination est très ténue, et ils sont près à vous raconter des histoires en y croyant dur comme fer, si il sentent que ça peut vous faire plaisir. Pour eux, ce ne sont pas des mensonges. ils extrapolent, mais c'est aussi vrai que le reste pour eux.
Des chercheurs auraient fait une expérience. Dans une petite classe, la maitresse introduit un monsieur, il dit bonjour aux enfants et s'en va. Puis les chercheurs interrogent les enfants.
"tu as vu ce monsieur ?"
"oui, il est venu avec la maitresse"
"Et sais quelque chose sur l'ours en peluche ?"
"oh oui, quand il est arrivé, il a pris l'ours en peluche et il lui a arraché la tête".

Et c'est ainsi que régulièrement, quand elle demande à son fils ce qu'il a fait à l'école, il lui répond qu'ils sont allé à la piscine, que sa vieille maitresse d'école est venue leur lire une histoire, parce que c'est plus intéressant à raconter que de dire qu'ils ont collé des gommettes avec abcd marqué dessus. Pour lui c'est arrivé, parce que c'est sa réalité, pas la nôtre.
Il n'empêche que l'imaginaire de ce gamin soit être particulièrement troublé pour inventer des trucs pareil. Ce qui ne signifie pas non plus que je pense que ce sont des affabulateurs. Juste que c'est très dur d'avoir un avis tranché.