Les druides pratiquaient-ils le cannibalisme ?

Un lien que je trouve étonnant venant du sérieux National Geographic

http://news.nationalgeographic.com/news/pf/91248320.html

Pour compléter cela, voici un article wikipedia sur l'Homme de Lindow :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Homme_de_Lindow

MArgaret Murray parlait de sacrifice rituel de personnage de haut rang tous les 7 ans pour régénérer la terre.... mais bon, c'est sujet à caution les dires de Maggie, j'en suis revenue.

Effectivement tu as raison, mais là j'ai l'impression qu'il y a plus de preuves à l'appui, mais tu connais certainement mieux le sujet que moi car j'avais très peu entendu parler de cela.

LE sacrifice humain chez les celtes ne fait aucun doute. Déja à Roquepertuse, pas loin de chez vous, et puis les wicker men, ces hommes d'osier, qui ont perduré dans la tradition. Après, Faisait-on réellement un sacrifice rituel d'un personnage de haut rang en guise de mariage symbolique avec la terre pour l’ensemencer et assurer sa fertilité, la survivance du sacrifice du roi Puck en Irlande tend à le prouver.

Bien que les autorités nient les origines païennes de la fête sans toutefois les rejeter complètement, les faits restent toutefois étranges. Soit cela remonter à une vielle tradition, soit ce sont des copains de Margaret Murray. Peu de temps avant la foire qui a lieu le 10 aout, on capture un bouc sauvage (il y en a là bas) sur les hauteurs du pays et on lui décerne le titre de roi puck. on lui met uen couronne et il est promené de par la ville avant d'être exhibé dans uen jolie cage au dessus de la foire. On lui adjoint une queen puck, qui est une très jeune fille, qui va elle aussi pouvoir parader dans sa jolie robe blanche et verte. Dans le temps, LE roi puck était sacrifié, il est à présent relaché (ça c'est un vieux souvenir que j'ai gardé d’une émission vue sur la puck fair). on a là tous les ingrédients d'un bon vieux sacrifice celte, avec un mariage hierogamique et uen régénération pour la fête des récoltes.

Après, rien n'interdit de penser que le sacrifié pouvait être mangé en cas de crise grave.