ElricWarrior Hérésiarque - Administrateur
Nombre de messages : 3223 Age : 83 Localisation : Terre d'Hérésie Actes nécrophiles : 9 Hommes torturés : 6166 Date d'inscription : 14/08/2004
Feuille de Sadique Aime mutiler: (35/150) Possede des Crânes humains: (10/150) Misanthrope : (15/150)
| Sujet: L'évangile de la putréfaction : Mémoires Nicolas Castelaux Ven 20 Mai - 6:36 | |
| Sans aucun doute, le meilleur livre lu cette année, à consommer sans modération. Depuis plus de vingt ans, celui que les médias ont surnommé le « vampire de Paris », est l'une des figures les plus controversées d'une contre-culture fascinée par son aura noire, allant du Black Metal à la « murderabilia ». Criminel cynique, peintre de l'horreur et auteur de plusieurs ouvrages de référence sur le true crime et la démonolâtrie, Nicolas Claux alias Castelaux dissèque son parcours dans cette autobiographie sans concessions. Il se penche sur son adolescence psychotique, les infamies dont il s'est rendu coupable, revient sur ses années de détention avec des tueurs en série et sa réinsertion rocambolesque en tant qu'agent mortuaire obnubilé par les liaisons entre Éros et Thanatos. Une vie intense au service de la Sainte Mort, qui vous mènera des entrailles du cimetière du Père-Lachaise jusqu'aux blocs de réfrigération des morgues les plus lugubres de la capitale. « Le vampire de Paris sort enfin de sa crypte pour noircir les 666 pages de ses mémoires. Artiste à la renommée internationale et esthète affirmé du macabre, Nico Claux a pour mentor un japonais cannibale et pour ami Satan en personne. Ce solitaire indomptable au parcours extrême se révèle être un type somme toute sympathique avec un goût prononcé pour la torture et le blasphème. À lire au coeur de la nuit ! » Sondra London. Vient l’étape du méchage. Par ce terme, on désigne le fait de bourrer la bouche et le nez du défunt de très longues mèches de coton (on utilise parfois un sachet entier de ouate pour mécher la bouche d’un seul cadavre). J’enfonce donc de tout mon poids ces mèches avec une très longue pince dans la gorge et les narines de Monsieur M. Mes gestes brutaux s’accompagnent de craquements sinistres, là où ma pince brise de menus ossements de la cavité nasale. Contrairement aux rumeurs populaires, l’on n’introduit pas de coton dans l’anus des patients. Cela ne serait pas très agréable, enfin, surtout pour celui qui enfonce le coton. Pour stopper les écoulements de matière fécale que certains corps expulsent sans vergogne quand on les soulève pour les poser d’un point A à un point B, l’usage est de les parer post-mortem de très vilaines protections pour adultes. Eh oui, mesdames et messieurs, à votre mort, vous irez dans votre cercueil en couche-culotte.https://amzn.to/3yONZWq _________________ http://www.heresie.com
| |
|